L’ingénieure informaticienne et spécialiste en marketing digital, BRENDA NDAYA KANYINDA, actuellement Chargée d’Études à l’Agence pour le Développement du Numérique, ADN en sigle, se trouve en danger, pour la simple raison, qu’une autre femme, l’a proposé à ce poste de service, compte tenu de ses compétences en marketing digital. Aujourd’hui, Brenda Ndaya Kanyinda est la personne à éjecter sur cette chaise, pour des raisons purement politiques.
Pour la petite histoire, Brenda Ndaya Kanyinda était dans le Parti Politique AADC (Alliance pour les Actions de Développement du Congo), de Madame Adèle KABENA, avant d’intégrer le Parti CRIC (Cercle des Réformateurs Intègres du Congo) de Stéphanie Mbombo, dans le but d’exprimer ses ambitions politiques et postuler aux legislatives nationales de décembre 2023. Ingénieure Brenda Ndaya répondait ainsi, à l’appel lancé à toutes les femmes, de s’impliquer dans la gestion de la ‘’ res publica’’. Malheureusement, le Parti CRIC de Stéphanie Mbombo a pris unilatéralement la décision de ne pas aligner BRENDA NDAYA sur la liste du Regroupement FPAU (Forces Politiques Alliées à l’UDPS/Thisekedi) dont il faisait partie.
Pendant que la future candidate aux législatives nationales battait campagne sur terrain, dans un contexte difficile, du côté de la cellule électorale mise en place par le Regroupement FPAU, sa candidature a été débarquée, semble-t-il avec l’accord de la Présidente du CRIC, sans pour autant lui en faire part. Chose étonnante pour Brenda Ndaya, quand elle l’a appris, presque le dernier jour, de dépôt de dossiers.
C’est ainsi qu’elle prit résolument l’option de chercher, dans quel Parti se perchait, à la dernière minute. Elle trouve une porte ouverte au Parti MSR (Mouvement Social pour le Renouveau), qui l’aligna heureusement sur la liste du Regroupement ARDP (Alliance des Démocrates pour le Renouveau et le Progrès).Une option qui a énervé la Présidente du Parti CRIC.
C’est la raison qui a poussé la présidente du Parti CRIC, qui avait proposé BRENDA NDAYA KANYINDA au poste de service à l’Agence pour le Développement du Numérique, de continuer, par tous les moyens, à chercher son départ de cette Agence ; et pourtant, un poste qui répond correctement à son Profil, et assume la fonction de chargée d’études avec compétences, sans reproches.
C’est là, la dichotomie des femmes : « une femme, bourreau d’une autre femme, pendant que le Chef de l’État, Champion de la masculinité positive, ne cesse de faire la promotion de la femme, en nommant des femmes dans des instances de prise des décisions ».
À la question de savoir, avec cette situation, comment est le climat actuel à l’Agence pour le Développement du Numérique, Brenda Ndaya Kanyinda répond : « Le climat n’est pas bon. Je vis et je travaille comme une personne recommandée par une autre femme du Parti Politique, et qui peut être éjectée à tout moment, sans cause ».
C’est pourquoi, nous lançons cette alerte pour la vie politique et professionnelle, qui est menacée.
Jean Pierre Katenda
Français 
English (UK)
Laisser un commentaire à ce sujet